Dans « La Frontière », j’explore la lisière entre le monde extérieur qui nous entoure et ce que nous sommes à l’intérieur. Je parle des limites comme possibilités d’ouverture. A travers un monde énigmatique, intemporel et fantasmé, j’ai voulu métaphoriquement mettre en scène cette sensation d’être dans l’entre-deux et créer un espace de projection dans lequel le spectateur peut se trouver ou se perdre lui-même.
La Frontière est le deuxième volet d'une fresque photographique en trois chapitres qui questionne le concept psychanalytique de Didier Anzieu sous forme de fiction narrative.