Dans nombre de ses travaux, Runeda subjective les paysages par l’intermédiaire d’un spectateur de premier plan ou par son cadrage. En photographiant des éléments réels, il crée de l’irréel, de l’onirique, du rêve dans lequel le spectateur peut chercher l’évasion. En créant ce monde extérieur, il évoque le monde intérieur, celui du sentiment, des émotions. Le cadrage et le jeu entre les plans créent une ébauche de scénario qui donne matière à réflexion et des pistes de questionnement.